You'll never walk alone...

Chez SegArkO, il y a tout ce qu'il faut.

29 août 2006

Reims et Le Havre, ca dépend.

Certes, Reims a éliminé le SMC en Coupe de la Ligue, mais c'est tant mieux comme ca, le championnat sera plus facile, enfin pas tant que ca, car les 6 premiers de L2 se sont faits éliminés aussi, bref, on perd 1-0.


On va donc au Havre en nombre, pour remplir leur parcage, trop souvent vide, comme leur stade en bois d'ailleurs. Mais on a au moins un point commun avec eux : un public de footix à domicile qui encourage quand son équipe marque et se la ferme quand elle se fait égaliser.
Le Havre se repose sur deux joueurs qui nous ont fait mal, Lesage et Traoré, et donc on fait 2-2. Ce fut le septième match, un match physique mais toujours sans le moindre arbitre compétent.
Il manquait Mazure, mais c'est la vie, on va tordre Metz à domicile et tout ira bien.

22 août 2006

Une dernière fois


Allez, bonne chance au meilleur défensif du monde.

20 août 2006

La beauté de l'île

Le taquet, le tampon, la tacle de barbare, bref l'agression fait partie des matchs de football.

Mais pour les joueurs (certains joueurs) de Bastia, c'est malheureusement l'inverse:
il arrive que des pincées de football se glissent dans leur entreprise de démolition de chevilles et de genous.

Jugez plutôt:

19 août 2006

Qui ne saute pas n'est pas chef de chantier !

Mais non elle ne va pas s'écrouler la tribune.

Une Stumacati sans poivron, une !



Les chants caennais résonnaient encore dans le Stade de la Licorne, que des bastiais se présentaient à Caen, mais pour quoi faire ?

Pour capturer des gens afin de remplir le Stade Furiani de forçe? Non, capturer des gens est interdit en France.
Pour que Casoni visite la Normandie? Ca aurait pu, mais c'est pas ça.
Pour acheter Compan? J'espère pas.

Non, non, c'est bien pour disputer un match de football que le Sporting Club de Bastia s'est rendu à Caen, hier soir.
Des courageux inconscients avaient fait le déplacement jusqu'en Normandie pour voir leur équipe (je n’ai pas mis le verbe "jouer" parce qu’il ne convient pas ici).
De notre côté, un stade plein (les beaufs arrivent quand la première place est en jeu), mais un stade plein quand même.
Le onze-type, celui qui nous conduira tout droit vers notre titre de Champion de L2, était aligné: Planté, Hengbart, Thiam, Sorbon, Seube ce héros capitaine, Gouffran (avoir sa tronche en double page de l'Equipe augmente le melon, attention), Proment, Deroin, Florentin, Mazure et Compan n'avaient plus qu'à s'occuper de ces bastiais.
On domine et on se fait peur, c'est ce qu'on sait faire de mieux. Premier but d'Hengbart, contesté aussitôt par ce connard de Casoni, evidemment. La photo prouve que c'est un défenseur bastiais qui gêne son propre gardien, la beauté de la défense.
Les taquets de part et d'autre ainsi que les provocations de Meslin (tiens, un autre connard) se succèdent, jusqu'à ce qu'on marque le deuxième but en fin de match, par l'idole Compan.
Les bastiais auront cadré si peu de la partie que je ne m'en souviens même plus.
Victoire méritée, 3 points, ca fait plaisir.

16 août 2006

Ca me révolte, c'est moche

Un documentaire M6 plein de bons sentiments, réalisé pour faire peur aux familles après le repas. Evidemment les faux journalistes qui ont fait ça y vont de leurs raccourcis, sans bien sur approfondir ce qui devrait l'être.

09 août 2006

Il faut bien un premier article

L'histoire vraie d'un soldat américain, qui après la guerre du Vietnam, s'est retrouvé sourd, aveugle, muet, sans jambe, sans bras que l'armée américaine a voulu garder en vie.
MetallicA en a fait une chanson, ca s'appelle "One".